Une fois n'est pas coutume, j'ai envie de faire un peu de pub pour ce film qui ROXX du pangolin des plaines et que j'attends depuis si longtemps, ptain c'est encore long jusqu'au 16 décembre.
La bande annonce :
http://www.allocine.fr/video/player_gen_(..)
J'espère que vous allez tous sauter dessus dès sa sortie, ça va être une tuerie monstre, d'après certains articles il y a un avant Avatar et un après Avatar, et je prophétise depuis des mois que ce film va tout balayer >.<
Voir Avatar, c'est se rapprocher de la PGMittude. Pensez-y. A partir du 01/01/10, ceux qui n'ont pas vu et aimé Avatar seront kick de la guilde sous les hués de la foule. kk ?
Quelques articles de blogueurs :
Parmi les films qui savent créer une attente considérable autour de leur série, Avatar tient certainement l'une des premières places. Grand retour de James Cameron à la caméra dix ans aprés Titanic (toujours en tête du box office mondial), annoncé comme la révolution 3D qui bousculera les codes du cinéma (certains le comparent même au passage du muet au parlant), développé dans le plus grand secret depuis huit ans et disposant du plus grand budget de l'histoire du cinéma, Avatar réunit tous les éléments pour que les cinéphiles attentent avec un mélange d'impatience et de crainte la sortie du film le 16 décembre. Le premier teaser a enfin levé le voile sur l'univers du film aprés un secret absolu.
Il y eut le temps du noir et blanc, l’apparition du son et la révolution de la couleur ; il semblerait que l’on rentre actuellement en plein dans l’ère de la trois-dimensions. Dans cette époque où les graphismes ne cessent de se développer et les pixels de se démultiplier, et où on a la bande-annonce du jeu-vidéo en même temps que celle du film, cet engouement technologique et cinématographique pour la 3D ne confirmerait-il pas l’hypothèse que le cinéma n’est que pur spectacle ? Les premiers films à s’y essayer, plutôt moyens, se contentaient alors de leur simple statut d’attraction, mais depuis quelques temps la 3D cherche à s’incruster dans les films à l’affiche, et de plus en plus souvent. C’est ce moment d’hésitations, où rien n’est encore joué, qu’a choisit Cameron pour refaire surface avec son iceberg, Avatar, dont le titre laisse comprendre que tout n’est bien que représentation numérique -celle d’un héros tétraplégique qui veut sauver le monde, d’un univers imaginé par un cinéaste passionné, et d’un nouveau courant de cinéma en relief.
James Cameron se remet donc au travail après 10 ans d’absence, avec le souvenir de la vague Titanic qu’il avait été capable de générer, et la promesse d’un coup cette fois-ci attendu mais bien plus puissant, par l’intermédiaire d’un projet de longue date, qui se veut à la fois leader de la science-fiction de légende (reprenant presque le flambeau de Star Wars) et dernier représentant de l’héroic-fantasy (images influencée par World Of Warcraft). C’est avec cet outil hybride, mais terriblement ambitieux, que Cameron compte marquer une fois pour toute le cinéma -celui fait de pixels et même de projectiles virtuels-, au détour d'un budget colossal et d'une avancée technique historique, dans un film-mystère déjà rendu incontournable grâce au buzz de l’Internet. Finalement, Cameron est très doué pour fabriquer des évènements à partir de ses films : maintenant, le bateau qui coule est toute une planète (Pandora), et, paraît-il, le thème du romantisme aurait laissé place à celui la rédemption. S’il y a de fortes chances pour que l’on soit bluffé par le visuel, reste au film à assumer et assurer son statut de titan ; espérons que la révolution dans l’image de synthèse se fasse également dans les genres cinématographiques auxquels s’attaque Avatar, projet géant constituant un matériau suffisamment dense et convaincant pour mériter un approfondissement 3D.
Car, ne peut-on pas voir tout de même un peu d’évolution dans cette révolution de l'image ? Maintenant, au lieu de chercher à sortir de l’écran, l’univers 3D se creuse, découvrant sa profondeur visuelle alors censée représenter (comme un avatar) la profondeur émotionnelle du film, transformant le grand écran en fenêtre de l’imagination. Au fond, n’est-ce pas un rêve aussi vieux que le cinéma, celui de pouvoir mettre des lunettes pour s’échapper dans un monde fictif, pourtant de plus en plus perceptible ? Avatar, à voir tôt ou tard…
Sauf que l'espèce de croisade des médias contre les MMO (voir les jeux en général, CS à été visé assez souvent) vient surtout du fait que quelques faits divers (rares mais souvent catastrophiques comme un jeune qui se nourrit pas pendant des semaines pour jouer, ou un petit frère qui tue sa sœur en croyant qu'elle était devenue une UD) ont nourrit les suspicions.
Les médias aiment beaucoup parler des catastrophes et ce genre de faits divers font de l'audience.
Alors effectivement, de mon point de vue, un jeu / objet / travail ne peut pas donner une vraie addiction (tout les joueurs dis "HCG" arrêtent du jour au lendemain si nécessaire, un toxico accroc à la coc .....) mais certaines névroses / personnes ayant du mal à faire la différence entre le réel et l'immersion dans le jeu fait que les gens parlent d'addiction hors ce sont bien des "maladies mentales" qui sont à l'origine de certains comportements.
Bref effectivement l'addiction est un mot bien trop utilisé
tout les joueurs dis "HCG" arrêtent du jour au lendemain si nécessaire
Pas sûr du tout. Pas du tout, du tout.
Les médias aiment beaucoup parler des catastrophes et ce genre de faits divers font de l'audience.
Entre autre aussi parce que les gens devant l'ordi, ne sont pas devant la télé. Perte de part de marché, du coup ça whine et ça diabolise.
L’écran n’est pas la drogue, puisqu’on peut lui substituer autre chose.
Selon certains, c'est JUSTEMENT la définition d'une drogue. C'est à dire que pour s'en défaire, il faut le remplacer par quelque chose.
Cependant, à la différence des drogues habituelles, les jeux sont chronophages et à très réduit. Ce qui crée, quand on arrête un jeu, un temps libre considérable qu'il faut savoir combler. Aussi, si l'ex-joueur aimait s'impliquer dans une seule et même chose, il est indéniable qu'il passera la majeure partie de son temps à faire autre chose (travail, sport, lecture...). Donc dans ce cas, pourrait-on conclure que le tennis est aussi une drogue ?
TKT Poto Zat is Ze Question
Il est certain que les Orcs de World of Warcraft vont faire la société de demain…
Best quote EVER !
+1 Telo ;-)
En attendant il y a des tarés qui se jettent par la fenêtre un balai entre les jambes en se prenant pour Harry Potter ou des abrutis qui mordent les gens au cou en allant voir Twilight, pourtant on en fait pas un plat.
D'ailleurs je l'ai revu hier soir en 3d..... C'est vraiment tellement magnifiquement génial, ce film, c'est... c'est... c'est juste parfait
A la fin, mon voisin de devant était recouvert d'une substance blanchâtre et visqueuse.
Par contre, ca me déprime quand je me souvient que c'est "qu'un" film :'(
Le 1 er cas de: les jeux vidéo CAYLEMAL!!! c'était en 93 avec 2 étudiants qui sont allez tirer avec des fusils dans leur lycée, les flics on fait une enquete on rien trouvé sauf! DOOM dans leur chambre et PAF ça fait des ... psycopates les jeux vidéos! Bande de con quoi depuis tout les jeunes qui font une connerie on reporte ça au jeux vidéo.
Voui on le sais que le sénar c'est pas ce qui fait la force du film, pis bon les films où le héros il passe du coté des gentils pasqu'il est amoureux de l'héroïne pis quelle lui en veux de l'avoir trahie juste après avoir couché ensemble y en a un paquet hein
Arf c'est vrai que ça risque de relancer le débat. Je trouvait juste ça très drole. Dans tous les cas, dans beaucoup de films, a la fin, les gentils gagnent.