Archetype - Conseil des Ombres

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24/11/2009 11:46:00

Une fois n'est pas coutume, j'ai envie de faire un peu de pub pour ce film qui ROXX du pangolin des plaines et que j'attends depuis si longtemps, ptain c'est encore long jusqu'au 16 décembre.

La bande annonce :

http://www.allocine.fr/video/player_gen_(..)

J'espère que vous allez tous sauter dessus dès sa sortie, ça va être une tuerie monstre, d'après certains articles il y a un avant Avatar et un après Avatar, et je prophétise depuis des mois que ce film va tout balayer >.<

Voir Avatar, c'est se rapprocher de la PGMittude. Pensez-y. A partir du 01/01/10, ceux qui n'ont pas vu et aimé Avatar seront kick de la guilde sous les hués de la foule. kk ?

Quelques articles de blogueurs :

Parmi les films qui savent créer une attente considérable autour de leur série, Avatar tient certainement l'une des premières places. Grand retour de James Cameron à la caméra dix ans aprés Titanic (toujours en tête du box office mondial), annoncé comme la révolution 3D qui bousculera les codes du cinéma (certains le comparent même au passage du muet au parlant), développé dans le plus grand secret depuis huit ans et disposant du plus grand budget de l'histoire du cinéma, Avatar réunit tous les éléments pour que les cinéphiles attentent avec un mélange d'impatience et de crainte la sortie du film le 16 décembre. Le premier teaser a enfin levé le voile sur l'univers du film aprés un secret absolu.


Il y eut le temps du noir et blanc, l’apparition du son et la révolution de la couleur ; il semblerait que l’on rentre actuellement en plein dans l’ère de la trois-dimensions. Dans cette époque où les graphismes ne cessent de se développer et les pixels de se démultiplier, et où on a la bande-annonce du jeu-vidéo en même temps que celle du film, cet engouement technologique et cinématographique pour la 3D ne confirmerait-il pas l’hypothèse que le cinéma n’est que pur spectacle ? Les premiers films à s’y essayer, plutôt moyens, se contentaient alors de leur simple statut d’attraction, mais depuis quelques temps la 3D cherche à s’incruster dans les films à l’affiche, et de plus en plus souvent. C’est ce moment d’hésitations, où rien n’est encore joué, qu’a choisit Cameron pour refaire surface avec son iceberg, Avatar, dont le titre laisse comprendre que tout n’est bien que représentation numérique -celle d’un héros tétraplégique qui veut sauver le monde, d’un univers imaginé par un cinéaste passionné, et d’un nouveau courant de cinéma en relief.

James Cameron se remet donc au travail après 10 ans d’absence, avec le souvenir de la vague Titanic qu’il avait été capable de générer, et la promesse d’un coup cette fois-ci attendu mais bien plus puissant, par l’intermédiaire d’un projet de longue date, qui se veut à la fois leader de la science-fiction de légende (reprenant presque le flambeau de Star Wars) et dernier représentant de l’héroic-fantasy (images influencée par World Of Warcraft). C’est avec cet outil hybride, mais terriblement ambitieux, que Cameron compte marquer une fois pour toute le cinéma -celui fait de pixels et même de projectiles virtuels-, au détour d'un budget colossal et d'une avancée technique historique, dans un film-mystère déjà rendu incontournable grâce au buzz de l’Internet. Finalement, Cameron est très doué pour fabriquer des évènements à partir de ses films : maintenant, le bateau qui coule est toute une planète (Pandora), et, paraît-il, le thème du romantisme aurait laissé place à celui la rédemption. S’il y a de fortes chances pour que l’on soit bluffé par le visuel, reste au film à assumer et assurer son statut de titan ; espérons que la révolution dans l’image de synthèse se fasse également dans les genres cinématographiques auxquels s’attaque Avatar, projet géant constituant un matériau suffisamment dense et convaincant pour mériter un approfondissement 3D.

Car, ne peut-on pas voir tout de même un peu d’évolution dans cette révolution de l'image ? Maintenant, au lieu de chercher à sortir de l’écran, l’univers 3D se creuse, découvrant sa profondeur visuelle alors censée représenter (comme un avatar) la profondeur émotionnelle du film, transformant le grand écran en fenêtre de l’imagination. Au fond, n’est-ce pas un rêve aussi vieux que le cinéma, celui de pouvoir mettre des lunettes pour s’échapper dans un monde fictif, pourtant de plus en plus perceptible ? Avatar, à voir tôt ou tard…


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03/01/2010 20:52:27

Osef de l'inventivité bordel.... Tu veux de l'inventivité, tu va pas au ciné pour voire de l'inventivité....... Ou en tout cas pas pour le scénario. Peut être pour le visuel mais pas pour scénario...

Rappel toi des premiers Star Wars, vachement inventif le scénario, les gentils qui powns les méchant à grand coup de canons lasers ! C'est pourtant devenu une des plus grande trilogie de l'histoire du cinéma. Et un des univers parallèle les plus riche jamais inventé, comptant des centaines de livres avec une histoire qui commence plusieurs millénaires avant les films et qui finis plusieurs siècles après... LOL C PR FER D LA TUN XD (biensur... -_-')

Alda a dis plus ou moins se que je pense concernant Avatar si on veut voire le côté "spirituel" du film. Et c'est une des raisons pour les quelles ce film m'a touché.

03/01/2010 21:41:24

Nan mais... dans tous les cas, c'est subjectif les avis hein.

03/01/2010 23:09:48

Vous êtes compliqué >.<

Je vais faire simple:

L'histoire d'amour elle pu du cul, enfin perso c'était couru d'avance... Avant même que le film commence. Et ça m'intéresse pas, mais c'est subjectif.

L'histoire de fond est profonde et en faite pas si inventive que ça, je dirais plus tôt véridique inquiétante si on l'a compare avec le dépotoir qu'est devenu notre planète. A un moment dans le film Jack parle de la terre au Na'vi et leur signale que les humain on totalement détruit la nature sur terre.

Quant a l'univers, il est tout simplement énormissime, un peu comme la claque qu'avait provoqué Starwars avec son univers en son temps. Suffit de regarder les bestioles, les plantes, les paysages... Et le pire c'est que tout ça colle bien ensemble (Même si j'arrive pas à savoir comme les montagne vole >.<).

Pour les messages philosophique c'est l'histoire de fond, pour les sentimentales c'est l'histoire d'amour et pour les rêveurs comme moi c'est l'univers du film qu'il faut regarder.


Voilà, pas besoin de faire 4.000 pages :P

Dire que le film n'est pas inventif car l'histoire d'amour pu et qu'a la fin les méchant perde, c'est refusé de voir une grande partie du film je trouve. Comme l'on dit certain plus haut, dans Batmin the Dark Knight le méchant aussi perd à la fin, et y a aussi une histoire d'amour à la con. Mais c'est loin d'être le plus important ^^.


Et comme tout ça est subjectif, chacun aimera la "partie" du film qu'il préfère... s'tout.

Sinon les bestioles volante qui tourne sur elle même... Ça m'a filé un fou rire monumental dans le ciné avec un pote. "Ou je vais ?! Ou je vais ?! Ou je vais ?! Ha un arbre ! Ha non ! Ha si ! Ha non ! Ha s..PAF"

03/01/2010 23:39:13

(Même si j'arrive pas à savoir comme les montagne vole >.<)

Demande a blizzard comment y on fait a Nagrand :o

04/01/2010 03:07:21

Les montagnes volantes ça existe depuis un moment pour info. Mais ça veut pas dire que c'est pompé sur le cinéma coréen.

04/01/2010 08:52:17

Mais go regarder Wall-e, c'est exactement la même chose : un film plein d'images de synthèse, avec une histoire d'amour sur le fond de critique de la société humaine et de notre tendance a polluer. Et aucun risque de fall in love de l'héroïne, c'est un robot.

Bon, par contre jlove le hero moi :]

04/01/2010 09:24:07

Et bah moi j'ai beaucoup aimé parce que c'est comme ça.

05/01/2010 19:59:18

Telorius go regarde Un monde meilleur ^^ ou sinon pas dans le même genre du tout Requiem for a dream c'est des films qui te font réfléchir une fois que tu l'as vu.

05/01/2010 22:35:54

Requiem fait réfléchir ? Faut du brain pour comprendre que la drogue caylemal :o

06/01/2010 12:48:06

Fait gaffe sarl, c'est presque tous des fumeurs de akik

06/01/2010 13:03:48

L'addiction à une drogue c'est la conséquence d'un problème, tu te drogues pas sans raison. J'ai un ami qui est actuellement en cure à cause de l'alcool à 25 ans... j'irais bien lui dire que c'est mal de boire mais j'ai peur qu'il saigne de rire.

06/01/2010 13:18:23

Perso moi c'est le gout qui me plais quand je fume, le reste m'en fous, la drogue c'est pas nécessairement le mal (j'ai pas dit que ça faisais du bien) c'est l'addiction qui est dangereuse, perso je fume une ou deux fois dans l'année et ça me va bien.

Requiem ne cherche pas à dire que la drogue c'est le mal, mais qu'on est tous au bord d'une pente très raide et qu'il n'y a qu'un pas pour la dévaler et se retrouver en enfer, s'il n'étaient restés que des consommateurs lambda il a de grandes chances qu'ils soient encore tous les trois dans leur apart' à délirer ensemble.

Pis bon hein un mec qui joue 12 heures par semaine mini à wow il est pas super crédible quand il dit que la drogue c'est mal ^^

On est tous des wowaddicts :p

06/01/2010 13:56:29

oue Kol sauf que l'addiction au jeux vidéos est une grosse blague car médicalement j'y crois absolument pas. Ya d'ailleurs je sais plus quel mec qui à écrit un article sur la rentabilité des centres de traitement des addictions. Juste une usine à sousous. Et il a été prouvé qu'un jeux vidéo ne pouvait pas procurer d'addiction.

Si ça en intéresse certains (je suis d'accord avec pas mal de points) :

http://www.lemonde.fr/archives/article/2009/03/27/yann-leroux-il-n-y-a-pas-d-addiction-aux-jeux-video_1173545_0.html

Un extrait :

L’idée d’addiction sans drogue s’est développée dans la “psychosphère” si vous me permettez

expression. Mais l’idée que l’addiction puisse s’appliquer à l’usage d’objets qui ne sont pas

des drogues (comme le travail ou le jogging…) pose un lourd problème, car toute passion

peut alors être pathologisée, que vous fassiez du radiomodélisme ou que vous passiez votre

temps à jouer aux échecs ou à lire… On débouche très vite sur des positions paradoxales,

voir intenables, comme celles de Marc Valleur et Jean-Claude Matysiak auteurs des Nouvelles

formes d’addiction. Une femme battue pourrait avoir une addiction à la violence ! On voit

qu’on dépasse là des limites que notre profession ne devrait pas franchir. Une femme battue

est victime de la violence de son conjoint, point ! Quelqu’un qui passe 12 heures à travailler

n’est pas dépendant de son travail, mais d’un système qui le maltraite. S’il travaille plus qu’il

ne le souhaiterait, ce n’est pas la faute de son travail, mais du fait qu’une partie de sa vie (sa

place dans l’entreprise par exemple) est en jeu.


06/01/2010 15:10:12

Nous vivons dans un monde de névroses ...

Go être psychotiques !!!

06/01/2010 16:26:11

J'avais lu un article du genre Magath, mais ça fait plaisir à TF1 de faire des reportages pour dire que WOW CAYLEMAL en montrant des enfants y passer des heures et rater leurs cours. Sauf que c'est les parents le problème, mais ce sont eux qui votent, donc bon... on va pas leur dire.

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